La proposition, émanant du socialiste Hussein Bourgi et approuvée au Sénat, ne prévoit pas de réparation financière pour les victimes, ce qui est critiqué. Il est souligné l’importance de garanties de non-répétition et de réparation financière pour reconnaître les violations aux droits humains, ainsi que la nécessité d’allouer un fonds à la mémoire des luttes LGBT et aux archives LGBT pour une réparation plus collective. La composition du gouvernement et les positions hostiles aux droits des personnes LGBTI+ suscitent également des débats. La proposition de loi soulève ainsi des questions cruciales sur la reconnaissance et la réparation des persécutions subies par les personnes LGBTI+, ainsi que sur les enjeux politiques liés à cette question.
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