La préfète du Bas-Rhin a pris une décision importante en interdisant la manifestation kurde à Strasbourg, qui devait se dérouler du 10 au 13 octobre. Cette mesure a été adoptée suite à la publication de messages de soutien au Hamas, une organisation considérée comme terroriste dans de nombreux pays.
En effet, des cadres du mouvement kurde ont été directement impliqués dans la diffusion de ces publications sur les réseaux sociaux. Le soutien public aux actions terroristes du Hamas est non seulement répréhensible, mais est également jugé comme un véritable risque pour l’ordre public.
Cette manifestation visait à demander la libération d’Abdullah Ocalan et à trouver une solution au problème kurde qui perdure depuis de nombreuses années. Les organisateurs prévoyaient une mobilisation sur l’avenue de l’Europe à Strasbourg, de 8 heures à 20 heures.
Cette décision d’interdiction a néanmoins suscité des réactions diverses au sein de la communauté kurde. Certains estiment que la liberté d’expression et le droit de manifester sont bafoués, tandis que d’autres soutiennent la préfète dans sa démarche visant à préserver la sécurité et la tranquillité publiques.
Il convient de rappeler que, bien que la cause kurde soit légitime et mérite d’être entendue, il est important de respecter les lois et les valeurs démocratiques de notre société. L’utilisation des réseaux sociaux pour soutenir des organisations terroristes ne peut être tolérée.
En conclusion, la préfète du Bas-Rhin a pris une mesure visant à prévenir tout risque pour l’ordre public en interdisant la manifestation kurde à Strasbourg. Il est essentiel de trouver un équilibre entre le respect des libertés individuelles et la préservation de la sécurité de tous. La situation pour les Kurdes reste donc en suspens, en attendant une prochaine décision concernant leur revendication légitime de liberté et de résolution du problème kurde.
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