Depuis le lancement des Airtags d’Apple en 2021, de nombreux cas de détournements d’utilisation ont été rapportés, principalement par des femmes, sur les réseaux sociaux. Les Airtags, initialement conçus pour retrouver des clés, ont été utilisés pour traquer des jeunes femmes en les plaçant discrètement dans leur sac.
Des faux avis de recherche ont également été utilisés par des personnes mal intentionnées pour localiser physiquement des jeunes filles ou les espionner en ligne. Cette méthode consiste à poster un message sur les réseaux sociaux avec la photo de la personne ciblée, déclarant être un proche à la recherche d’informations suite à une disparition présumée.
Les applications connectées des voitures sont également devenues des outils utilisés par des partenaires abusifs pour surveiller et contrôler leurs victimes. Le New York Times a exploré cette problématique cette semaine, mettant en garde contre les dangers de ces applications en termes de violation de la vie privée.
Dans le cadre de ces cas de violation de la vie privée, les personnes concernées sont invitées à témoigner de leur expérience. Elles peuvent partager la découverte d’Airtags dans leurs affaires, la rencontre avec un faux avis de recherche en ligne, ou encore les différentes méthodes de surveillance et d’espionnage utilisées. Il est important pour ces témoins de préciser dans quel contexte ils ont découvert qu’ils étaient traqués, de quelle manière ils ont été surveillés ou espionnés, et ce qu’ils ont ressenti à ce moment-là.
Ces témoignages permettront de sensibiliser le public sur les dangers de l’utilisation abusive des technologies de suivi et de surveillance. Il est crucial de protéger la vie privée des individus et de promouvoir des pratiques responsables dans l’utilisation de ces outils technologiques. Afrique Asie encourage donc ses lecteurs à partager leur expérience et à contribuer à la lutte contre les atteintes à la vie privée.