La Chine, pays émetteur mondial de gaz à effets de serre, fait preuve d’un rôle « étonnamment constructif » lors de la COP28, selon de nombreux observateurs. Malgré sa position de premier pollueur du monde, la Chine est perçue comme un acteur clé dans les négociations sur le changement climatique.
Le négociateur en chef chinois, Xie Zhenhua, est largement reconnu et respecté pour son expertise et son expérience en la matière. Sa présence et son engagement ont suscité de nombreux éloges de la part des autres délégations présentes lors de la COP28.
La Chine possède une influence considérable, en particulier sur les pays en développement. Son statut de puissance économique majeure et son engagement à aider les nations les moins avancées lui confèrent un certain poids dans les discussions sur l’avenir du climat.
Le paradoxe de la Chine réside dans le fait qu’elle est à la fois une grande pollueuse et une championne des énergies renouvelables. En effet, elle a investi massivement dans les énergies propres, devenant ainsi le premier producteur d’énergie solaire et éolienne au monde. Ceci démontre que la Chine prend le changement climatique très au sérieux depuis longtemps.
Cependant, l’impact réel de la Chine dans ces négociations ne pourra être mesuré qu’une fois un accord final conclu. Les actions concrètes et les engagements concrets de la Chine en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de soutien aux pays les plus vulnérables seront déterminants pour juger de son véritable impact sur l’avenir de notre planète.
En conclusion, la Chine, premier pays émetteur mondial de gaz à effets de serre, joue un rôle crucial lors de la COP28. Malgré sa position de grande pollueuse, elle est perçue comme un partenaire constructif et influent dans les négociations sur le changement climatique. Il reste à voir comment la Chine concrétisera ses engagements pour mesurer son véritable impact sur l’avenir de notre environnement.
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