L’accord céréalier en mer Noire, crucial pour l’alimentation mondiale, est sur le point d’expirer. La Turquie et les Nations unies ont tenté de convaincre la Russie de prolonger l’accord, mais Moscou n’a pas encore donné son aval. Depuis le 27 juin, aucune demande de passage de cargos n’a été approuvée par toutes les parties.
Le dernier cargo validé a quitté le port ukrainien d’Odessa et se dirige vers Istanbul. Le président turc affiche sa confiance en affirmant que son homologue russe est d’accord pour prolonger l’accord, mais le Kremlin nie cette déclaration. Vladimir Poutine a dénoncé les obstacles à l’exportation des produits alimentaires russes et a estimé que l’objectif principal de l’accord n’était pas atteint.
La Chine et la Turquie sont les principaux bénéficiaires des cargaisons, ainsi que les économies développées. Grâce à l’accord, le Programme alimentaire mondial a pu aider plusieurs pays en situation critique tels que l’Afghanistan, le Soudan et le Yémen.
Le secrétaire général de l’ONU a été impliqué dans les discussions et a rencontré les responsables de l’Union européenne. Rien n’a été révélé sur les résultats de ces entretiens.
L’expiration imminente de l’accord céréalier en mer Noire suscite des inquiétudes quant à l’approvisionnement mondial en céréales. Cet accord, crucial pour l’alimentation mondiale, permet aux cargos de faire transiter les céréales depuis les pays de la mer Noire vers les pays importateurs.
Depuis le 27 juin, aucune demande de passage de cargos n’a été approuvée par toutes les parties concernées. Cette situation a créé une incertitude quant à la possibilité de prolonger l’accord. La Turquie et les Nations unies ont fait pression sur la Russie pour qu’elle donne son aval à une prolongation, mais Moscou reste silencieux pour le moment.
Le président turc affirme cependant que son homologue russe est d’accord pour prolonger l’accord, malgré les déclarations contraires du Kremlin. Vladimir Poutine a dénoncé les obstacles à l’exportation des produits alimentaires russes et a estimé que l’objectif principal de l’accord n’était pas atteint.
Les principales économies bénéficiaires de cet accord sont la Chine et la Turquie, qui importent d’importantes quantités de céréales de la mer Noire. Les économies développées, quant à elles, dépendent également de cet approvisionnement pour leur sécurité alimentaire.
De plus, grâce à cet accord, le Programme alimentaire mondial a pu aider plusieurs pays en situation critique, tels que l’Afghanistan, le Soudan et le Yémen. L’expiration de l’accord mettrait en péril l’aide alimentaire de ces pays déjà fragiles.
Face à cette situation préoccupante, le secrétaire général de l’ONU s’est impliqué dans les discussions et a rencontré les responsables de l’Union européenne. Cependant, jusqu’à présent, aucun détail sur les résultats de ces entretiens n’a été révélé.
Il reste maintenant à voir si la Russie donnera son aval pour prolonger l’accord céréalier en mer Noire, permettant ainsi de garantir un approvisionnement mondial en céréales et de maintenir l’aide alimentaire indispensable pour de nombreux pays en situation critique. La Turquie et les Nations unies continuent de faire pression, et le monde retient son souffle en attendant une décision.
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