Une nouvelle injection protectrice contre la bronchiolite, appelée Beyfortus, est désormais disponible depuis le 15 septembre. La Haute Autorité de santé a approuvé cette injection, qui est proposée dans toutes les maternités. Elle concerne les bébés nés après le 6 février 2023, après la dernière vague de la maladie.
Le vaccin se fait par injection dans la cuisse et vise à réduire les hospitalisations causées par la bronchiolite. L’hiver dernier, 35 000 bébés ont été hospitalisés à cause de cette maladie, dont 2500 en soins critiques.
Certains parents accueillent favorablement ce nouveau vaccin, espérant ainsi protéger leurs enfants et éviter les urgences pédiatriques engorgées. Ils voient dans cette injection une solution pour prévenir les complications liées à la bronchiolite.
Cependant, certains parents restent sceptiques. Ils ont déjà traversé la maladie avec leurs enfants et croient en la capacité naturelle du système immunitaire à se défendre. Par conséquent, ils hésitent à recourir au vaccin.
D’autres parents se méfient de devenir les « cobayes » de la science et sont préoccupés par l’efficacité provisoire du vaccin. Ils préfèrent attendre davantage d’études scientifiques sur cette nouvelle injection.
Il est important de noter que le Beyfortus ne peut être prescrit et délivré que sur ordonnance médicale et doit être administré par des professionnels de santé. Le ministre de la santé considère le déploiement du vaccin comme un enjeu majeur de la rentrée.
Certains parents prennent encore du temps pour prendre une décision éclairée. Ils se renseignent sur les études scientifiques disponibles et demandent l’avis de personnes compétentes dans leur entourage.
En conclusion, la nouvelle injection protectrice contre la bronchiolite, le Beyfortus, est désormais disponible dans toutes les maternités. Si certains parents y voient une solution pour protéger leurs enfants et éviter les hospitalisations, d’autres restent sceptiques et préfèrent attendre davantage d’informations avant de prendre une décision. Il est important de recourir à des professionnels de santé pour administrer ce vaccin, qui nécessite une ordonnance médicale.
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